J’aurai le plaisir d’intervenir à 17h lundi 1er juillet à l’occasion de la 10e édition des Rencontres du Numérique organisée à Bidart par l’ANTIC.
Retrouvez le programme complet et les détails de mon intervention ici :
RENCONTRES NUMERIQUES
J’aurai le plaisir d’intervenir à 17h lundi 1er juillet à l’occasion de la 10e édition des Rencontres du Numérique organisée à Bidart par l’ANTIC.
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RENCONTRES NUMERIQUES
A compter du 30 mai 2019, les coordonnées du bureau d’Alain Lamassoure à Paris seront limitées à la voie électronique.
Pour prendre contact avec Alain Lamassoure ou son attachée parlementaire à Paris, nous vous invitons à faire usage de l’adresse email [email protected] qui demeure en service jusqu’à la fin du mandat (30 juin 2019) ou de ses coordonnées au Parlement européen.
Néanmoins, le téléphone fixe et l’adresse postale du bureau de Paris seront désormais obsolètes.
Merci par avance de bien vouloir prendre note de cette évolution afin que les courriers et appels adressés au Député arrivent à destination.
Retour sur mon intervention devant le collège des Bernardins: “Pour un récit commun et une conscience européenne commune”.
Nous avons besoin de racines et d’un récit national. Mais en même temps, nous devons nous assurer de la manière dont nous racontons le passé consolide la réconciliation entre nos peuples.
Quand on regarde l’enseignement scolaire de l’histoire dans l’ensemble des pays européens, on se rend compte qu’il y a deux risques qu’il faut éviter:
1️⃣ Le risque de transformer l’histoire en roman national, voire propagande nationaliste. C’est le cas dans les pays à conflit gélé comme la Bosnie-Herzégovine où la reconciliation ne peut pas se faire tant que la communauté musulmane, orthodoxe, catholique apprendra des histoires différentes et en réalité conflictuelles.
2️⃣ Le second risque est que l’histoire ne soit plus enseignée comme un récit, qu’on ait scrupule à parler d’un passé qui a été un passé de guerres, d’atrocités, de de génocides mais aussi d’un passé glorieux. Qu’on ose plus parler des grands personnages de l’Histoire car si on les juge selon nos normes éthiques très ambitieuses d’aujourd’hui, il n’y aurait plus de héros. Or, il faut apprendre à remettre les personnages et les évènements dans leur contexte.
C’est pour cela que nous travaillons à la mise en place d’un observatoire de l’enseignement de l’Histoire pour faire en sorte que chacun enseigne bien dans son pays l’histoire dont chacun de nous a besoin mais qu’on apprenne à croiser les regards pour faire en sorte que ces 47 ou 50 récits nationaux soient compatibles entre eux même s’ils sont différents et que de ces récits nationaux différents jaillisse une conscience européenne commune.
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J’étais ce weekend l’invité de Patrick Cohen pour l’émission “C’est arrivé cette semaine”, sur Europe 1, pour évoquer les actualités françaises et européennes ainsi que mon action au sein du Parlement européen.
L’émission est désormais disponible en replay :
ECOUTER
J’étais ce mercredi 6 février l’invité de Pascal Perri pour l’émission Perri Scope diffusée sur LCI, afin d’évoquer les actualités de la fusion entre Alstom et Siemens mais aussi l’actualité économique plus générale en Europe.
“Naïfs, l’Europe ? Nous sommes les vainqueurs de la bande ! Et je suis navré que personne ne le dise en France. La zone euro est une puissance commerciale plus forte et plus efficace que la Chine ! (…) Quand je jouais au rugby et que je perdais un match, si mon réflexe était de dire que c’était la faute de l’arbitre, j’étais sûr de perdre le match suivant. (…) Il faut des champions dans les domaines stratégiques. Mais cela exige une condition importante, à savoir un véritable budget permettant des commandes publiques de taille européenne. Tant que le budget européen représentera 1% du PIB, nous resterons des agneaux !”
LE REPLAY
Par Emmanuel Berretta
Publié le 30/11/2018 à 10:24 | Le Point.fr
Jusqu’ici, les européennes ont toujours été un enjeu majeur pour les présidents ou aspirants présidents français.
Comme il paraît loin, le temps où les grands chefs à plumes de la politique ne négligeaient pas les européennes. « C’était un passage obligé », se souvient Alain Lamassoure, l’un des sages de l’hémicycle de Strasbourg, qui achèvera en mai prochain son cinquième mandat. De fait, quand on regarde dans le rétro, les plus grands se sont frottés au suffrage proportionnel sur liste nationale : François Mitterrand affronte Jacques Chirac en 1979, Georges Marchais s’y aligne par deux fois, Valéry Giscard d’Estaing tente un come-back par les européennes en 1989. Ni François Hollande ni Nicolas Sarkozy n’ont envisagé de passer leur tour quand l’occasion de conduire la campagne européenne s’est présentée en 1999, la dernière année où le scrutin se déroulait selon le principe des listes nationales.
« À l’époque, les têtes de liste se présentaient, mais ne siégeaient pas ensuite », rappelle Lamassoure. Quand on était chef de parti, pas question de se dérober ou de laisser un second prendre la lumière. « Laurent Wauquiez ou Marine Le Pen, qui hésitent à conduire eux-mêmes leur liste, font, à mon sens, une erreur, reprend l’ancien ministre délégué aux Affaires européennes. Le principe d’une liste nationale milite pour que ceux qui ont une ambition présidentielle se présentent. Les anciens ne s’y sont pas trompés. » Wauquiez et Le Pen oseront-ils aller au feu comme jadis les grands patrons ?
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Des lycéens du Grand Paris ont échangé avec des historiens, le 5 octobre. Programme d’histoire unifié dans l’Union européenne, rôle de l’enseignement de l’histoire par rapport au Brexit et aux nationalismes, prise en compte des diversités culturelles, tabou sur les Empires coloniaux européens… Pas simple de (ré)concilier tout le monde.
Les élèves de trois lycées ont parlé d’Europe avec des historiens – Crédits : Marie Guitton / Toute l’Europe
“La France a été en guerre avec tous les pays de l’Union européenne à un moment ou à un autre, à l’exception du Danemark. L’histoire de notre continent, c’est d’abord l’histoire de la Guerre. La construction européenne en est une réaction.” La ministre en charge des Affaires européennes, Nathalie Loiseau, a participé vendredi 5 octobre à la conférence “Mieux enseigner l’Histoire pour construire la paix”, en présence de représentants des ambassades italienne, hollandaise, espagnole, portugaise et suédoise.
Au très branché Consulat de la Gaieté, dans le sud de Paris, les regards d’une centaine de lycéens ont convergé vers un panel d’historiens, installé sous les étoiles du drapeau européen.
Pour mieux contrer les “mouvements nationalistes” qui renaissent fortement en Europe et qui “s’appuient sur un enseignement de l’Histoire volontairement biaisé“, la ministre exhorte les “jeunes générations” à faire vivre l’idéal de paix des pères fondateurs de l’UE, et encourage une “approche scientifique” des faits.
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#QuelleEstVotreEurope: J’ai lancé Vendredi 5 octobre, une initiative visant la création d’un observatoire de l’enseignement de l’Histoire en Europe à l’occasion d’une consultation citoyenne dans le lieu éphémère du Consulat de la Gaieté.
A l’heure où les nationalismes menacent de fracturer le continent, ce projet ambitionne d’interroger la manière dont l’histoire est actuellement enseignée en Europe et de recueillir, auprès de jeunes citoyens et d’historiens, des propositions qui permettraient de consolider son unité.
Lors de cette consultation citoyenne « comment enseigner l’histoire dans une Europe en paix? » qui a rassemblé la Ministre des affaires européennes, Nathalie Loiseau, d’éminents historiens ainsi que des lycéens d’Ile-de-France, nous avons pu échanger sur les différentes expériences d’enseignement de l’histoire en Europe et les questions qui se posent à l’heure où les nationalistes refont surface.
Un temps d’échanges enrichissant dans un lieu insolite avec une génération de citoyens qui n’a jamais connu la guerre et pour qui l’Europe en paix est une évidence depuis plus de 70 ans.
Nous remercions vivement la Ministre d’avoir participé à cette consultation ainsi qu’Edouard Husson, historien et vice-président de l’Université PSL, Steffen Sammler, de l’Institut Georg Eckert de Brunswick, Guillaume Le Quintrec, responsable du manuel d’histoire franco-allemand, Laurence Bragard, de la Maison de l’Histoire européenne, et Louis de l’Escalopier, porteur du projet citoyen EU Stories. Un grand merci aux classes des lycées franciliens pour leurs questions et leur intérêt !
Comment enseigner l’Histoire dans l’Europe en paix ? J’ai le plaisir de vous inviter à la consultation citoyenne que j’organise, vendredi 5 octobre, qui sera introduite par Nathalie Loiseau, ministre des Affaires européennes.
J’aurai le plaisir d’y accueillir Edouard Husson, historien et vice-président de l’Université PSL, Steffen Sammler, de l’Institut Georg Eckert de Brunswick, Guillaume Le Quintrec, responsable du manuel d’histoire franco-allemand, Laurence Bragard, de la Maison de l’Histoire européenne, et Louis de l’Escalopier, porteur du projet citoyen EU Stories.
Cette consultation, qui accueillera par ailleurs des lycéens de plusieurs établissements franciliens, se tiendra vendredi 5 octobre au Consulat de la Gaîté à Paris, à partir de 14h30 (entrée libre).
J’ai eu le plaisir d’intervenir devant la promotion 2018 du Cycle des Hautes Etudes européennes (CHEE) de l’ENA à Paris. Le compte-rendu de cette conférence est disponible en ligne.
“Être Homme, c’est précisément être responsable. C’est connaître la honte en face d’une misère qui ne semblait pas dépendre de soi. C’est être fier d’une victoire que les camarades ont remportée. C’est sentir, en posant sa pierre, que l’on contribue à bâtir le monde.”