– le 12 décembre 2008, réunion avec les militants UMP d’Anglet.
– le 5 décembre 2008, déplacement dans les Pyrénées-Orientales à l’invitation de Jean-Paul Alduy, sénateur- maire de Perpignan et rencontre avec des représentants du secteur agricole et des pêcheurs du département.
– le 6 novembre 2008, conférence sur son rapport : « Le citoyen et l’application du droit communautaire » organisée par le lycée des métiers de l’hôtellerie de Mazamet.
– le 3 novembre 2008, intervention à l’occasion du Foro de Biarritz sur le thème « Etats des relations Europe-Amérique Latine. Les processus d’intégration ».
– le 8 septembre 2008, signature du Contrat territorial Pays Basque 2020, en présence du Premier Ministre, à Bayonne.
– le 7 avril 2008, réunion à Bordeaux organisée par la Préfecture de région dans le cadre de sa mission sur le citoyen et l’application du droit communautaire.
– le 3 avril 2008, audition de la candidature du Pays Basque au titre du programme européen Leader 2007 – 2013 au Secrétariat général aux affaires régionales d’Aquitaine (SGAR) à Bordeaux.
– le 12 mars 2008, réunion publique de Robert Villenave, candidat aux élections municipales à Anglet.
Lire la suite…
A la veille de la nouvelle campagne européenne, prenons un moment pour jeter un regard sur la mandature qui s’achève. Une période qui donne le vertige.
En 2004, l’enjeu des élections européennes était évident : l’Union européenne avait cinq ans pour essayer de rattraper son retard. Retard de son économie, engluée dans une croissance lente, qui contrastait avec les résultats spectaculaires des puissances émergentes et le dynamisme persistant des Etats-Unis. Retard de son organisation, le grand élargissement à l’Est ayant finalement précédé l’adaptation des institutions, qui aurait dû être un préalable : l’Europe politique des 25 continuait de fonctionner selon les règles du petit Marché commun des Six d’il y a cinquante ans ! Retard dans sa diplomatie, trop souvent divisée ou absente sur les grands enjeux internationaux. Pour les peuples d’Europe, ces retards cumulés devenaient une source d’inquiétude croissante, à une période où l’accélération de la mondialisation accentuait le contraste entre un monde en pleine transformation et un continent qui peinait à se mettre en ordre de marche pour affronter les défis du nouveau siècle.
Et, de fait, au lendemain des élections de 2004, toutes les conditions semblent réunies pour donner à l’Union le nouvel élan tant attendu. Les 12 nouveaux membres intègrent la famille avec une facilité impressionnante. Fort de sa légitimité démocratique, le Parlement impose pour la première fois au Conseil européen son propre candidat à la présidence de la Commission, le jeune José-Manuel Barroso. La nouvelle Commission entreprend très vite de relancer la « stratégie de Lisbonne », le grand rattrapage de la compétitivité mondiale, et d’assouplir le pacte de stabilité pour le rendre plus favorable à la croissance. En octobre, le Conseil européen signe à Rome le projet de traité constitutionnel, conçu pour doter la grande Europe des institutions efficaces et démocratiques dont elle a évidemment besoin.
Lire la suite…
On the eve of the 2009 European election campaign, let us take a moment to review the parliamentary term that is now drawing to a close. The events that have taken place during that parliamentary term are enough to make your head spin!
In 2004, the challenge facing the European elections was clear: the European Union had five years to try to catch up. It was behind in terms of its economy, mired in slow growth in comparison with the spectacular performance of emerging market economies and the continued strength of the US economy. It was behind in terms of its organisation, with the EU’s major enlargement to include the countries of Central and Eastern Europe ultimately taking place before the institutions had been reformed, something which should have been a prerequisite for enlargement: the political Europe of 25 was still operating according to the rules of the modest little Common Market of the Six from 50 years ago! It was also behind in terms of its diplomacy, too often marred by disagreements or simply absent when it came to major international issues. For the peoples of Europe, this series of failures to make any real progress became a source of growing concern at a time when the increasing pace of globalisation was heightening the contrast between a world that was undergoing a process of change and a continent that was struggling to ensure that its mechanisms were in full working order so that it could face the challenges of the 21st century.
Lire la suite…
L’accord stratégique conclu il y a quelques jours entre l’Allemand Siemens et le Russe Rosatom est une très mauvaise nouvelle pour l’Europe de l’énergie.
D’autant plus mauvaise que Siemens a divorcé du constructeur nucléaire français Areva pour procéder à ce mariage, destiné à bâtir l’une des trois ou quatre entreprises mondiales capables de maîtriser toute la chaîne de construction et d’approvisionnement des centrales nucléaires civiles. Partenaire minoritaire d’Areva à un moment où l’Allemagne avait décidé d’abandonner progressivement la production d’électricité nucléaire chez elle, Siemens a décidé de devenir un acteur majeur de la filière quand il est apparu qu’à la faveur de la crise énergétique, les projets nucléaires refleurissaient partout : en Chine, en Inde, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Brésil, dans plusieurs pays arabes désireux de préparer l’après-pétrole … Même en Europe, un pays comme l’Italie qui, pourtant, avait renoncé au nucléaire par référendum, s’emploie désormais à rattraper le temps perdu. Dans ces conditions, plus question pour Siemens de se contenter des miettes d’un tel pactole ! Faute d’avoir pu renégocier un nouveau partenariat satisfaisant avec Areva, les dirigeants du groupe allemand n’ont pas hésité à s’allier avec l’entreprise publique russe Rosatom, qui dispose d’un savoir-faire comparable à celui du Français.
Lire la suite…
Pour accéder
au résumé des travaux de la session plénière du 23 au 26 mars 2009 à
Strasbourg, cliquez
ici
Pour accéder au résumé des travaux de la session
plénière du 9 au 12 mars 2009 à Strasbourg, cliquez
ici
‘Bishop X is wrong to finger the condom…’ This amusing comment made by French politician, André Santini, when speaking on the subject some years ago now, is the most fitting response to the remarks made this week by the Pope on his arrival in Africa.
The only thing is, it is getting to be a bit much.
In his remarkably moving memoirs, Jean-René Etchegaray recalls the enthusiasm with which the younger Catholic generation had welcomed the Second Vatican Council (Vatican II): in one fell swoop, the Church caught up on lost time and embraced the 20th century. It focused on issues such as its Jewish roots and its relations with other religions, while placing emphasis on peace among nations and respect among peoples; it recognised the value of a social market economy and defended freedom against totalitarianism; it also undertook a revision of the liturgy and the sacraments; finally, it sought to convey the Gospel message that no one has summed up better than St Augustine: ‘Love, and do what you want!’ Ever since, throughout the world, countless unnamed clergy and lay people alike are showing us, by their example, the very best of their faith.
Lire la suite…