France as seen from Europe


Whether it is the football World Cup, the Olympic Games, or rugby’s European Nations Cup, major sporting events remind us what sport and politics, physical performance and economic results and, ultimately, all forms of human competition have in common. It is when we compare ourselves with others that we can assess where we stand ourselves and, after a few years, a country or a team can go from gold medal position to a wooden spoon.


Our leaders do not like us to mention the failings of French society. ‘Declinism’ is said to be defeatism in new clothes. But what would we have said about a football coach who, just after France were humiliatingly knocked out of the 2002 World Cup, had declared that France were still the best team in the world? We must look at things clearly and objectively, and not deny the obvious facts, if we are to get back to the top.


It can be helpful to look at the perspectives of others. One of Europe’s greatest and most underrated virtues is that it offers us a permanent mirror and common points of reference which allow us to compare ourselves with one another. Each country is encouraged to improve in order to remain in the leading group or to return there. Lire la suite…

La France vue d’Europe


Qu’il s’agisse du Mondial de foot, des J.O. ou du championnat d’Europe de rugby, les grands événements sportifs ont le mérite de nous rappeler les points communs entre le sport et la politique, entre performances physiques et résultats économiques, et, finalement, entre toutes les formes de compétitions humaines. C’est en se comparant aux autres qu’on peut se mesurer soi-même, et, à quelques années d’intervalle, un pays, une équipe peut passer de la médaille d’or à la cuillère de bois.


Nos dirigeants n’aiment pas que l’on évoque les échecs de la société française. Le « déclinisme » serait une nouvelle version du défaitisme. Mais qu’aurait-on dit d’un entraîneur de football qui, au lendemain de l’élimination humiliante des Bleus au Mondial de 2002, aurait proclamé que la France restait la meilleure équipe du monde ? C’est en partant d’une analyse lucide et objective que l’on peut revenir au premier rang, et non en niant l’évidence.


Le regard des autres peut nous y aider. Une des plus grandes vertus, et des plus méconnues, de l’Europe est de nous offrir un miroir permanent, et des références communes nous permettant de nous comparer les uns aux autres. Incitant chacun à s’améliorer pour rester dans le peloton de tête ou pour y revenir. Lire la suite…

Hommage à Jacques Faizant


Un modeste. Notre ami Jacques était un modeste. Pour son premier dessin, il a voulu imiter Dieu.


Ses personnages s’appelaient « Adam et Eve » et, entre parenthèses, le petit « Caïn ». Puis il y a eu les vieilles dames, les marins, le clochard, le chat, de Gaulle et tous les personnages politiques. Un monde. Une philosophie aussi : pour le plus humble créateur, chaque matin est le premier matin du monde. Tout est à réinventer. Et le monde est toujours ce que nous voulons qu’il soit, si nous faisons œuvre de création : n’est-ce pas, amis dessinateurs ? C’est l’échange fameux entre le pessimiste et l’optimiste. « Pour l’optimiste, nous vivons dans le meilleur des mondes possibles. Mais pour le pessimiste aussi ». Avantage au pessimiste. « Oui, je suis optimiste, et alors ? Je ne me trompe pas plus souvent qu’un pessimiste, et je vis mieux ». Victoire de l’optimiste. De l’humour. De Jacques.


Un modeste. Il a bien caché son jeu. L’image qu’il nous a donnée de lui se résume en quelques traits de caricaturiste : une pipe (cette pipe sur laquelle, dans le dessin de Jean Duverdier, Marianne pleure Jacques Faizant comme elle pleurait sur le chêne gaullien), un œil doux et acéré, un crayon, une bicyclette. Une image d’épicurien. Une image derrière laquelle se protégeait un travailleur manuel, vivant dans l’angoisse, transpirant sur sa planche, engageant tout de lui-même : sa main, son esprit, son cœur. Tous les jours. Jusqu’à 87 ans : il dessinait encore quand Dieu, par un clin d’œil, l’a rappelé à Lui un mois avant la retraite que Jacques avait fixée au 1er mars prochain. Dans cette épreuve quotidienne du sourire à inventer en réponse à une actualité imprévisible, chaque jour, pendant cinquante ans, Jacques Faizant s’amusait-il toujours ? Non, mais toujours il nous amusait. Lire la suite…

28 juin 2006 – Un test en 4 questions


Test for Dementia


Below are four (4) questions and a bonus question. You have to answer them


nstantly. You can’t take your time, answer all of them immediately. OK


Let’s find out just how clever you really are Ready? GO!!!(scroll down)


First Question:


You are participating in a race. You overtake the second person. What position are you in?


Answer:If you answered that you are first, then you are absolutely wrong! If you overtake the second person and you take his place,you are second!


Try not to screw up in the next question.


To answer the second question, don’t take as much time as you took for the first question.


Second Question:


If you overtake the last person, then you are…?


Answer:If you answered that you are second to last, then you are wrong again. Tell me, how can you overtake the LAST Person?


You’re not very good at this! Are you? Lire la suite…

15 juin 2006 – L’été sera blanc deuil


le roman politico-policier d’Alain Lamassoure’, ‘Eté 2006. Un drame inhabituel dans le cadre volcanique de l’île grecque de Santorin révèle, non pas un, mais une série de meurtres et de complots contre l’ordre du monde. Pénélope, journaliste au magazine Elle, et Elena, conseillère du Premier Ministre grec, ont huit jours pour résoudre l’énigme. Complices et rivales, les deux amies inventent la première enquête policière menée sur Internet. Huit jours de poursuite déjantée et haletante, marqués par une révolution dans la télé-réalité, le premier attentat biologique à grande échelle, une bacchanale antique digne de Eyes wide shut, et l’hospitalisation collective des dirigeants français actuels au Val-de-Grâce. Un parcours offrant des incursions indiscrètes et humoristiques dans les coulisses de la mondialisation, politique, médiatique, financière et criminelle. Et si la réponse était tout simplement dans les yeux trop verts d’un chat noir ?


Vous pouvez cliquer

ici

pour accéder à la présentation du roman sur le site Internet des éditions Atlantica – Séguier.

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