Les réunions



– LES ASSEMBLEES GENERALES :


– le 23 mai 2008 (

procès verbal

).


– le 14 décembre 2007 (

note de présentation des dossiers

et

procès verbal

).


– le 26 juin 2007 (

rapport d’activités 2006

,

bilan financier

et

modification des statuts

).


– le 19 juillet 2006 (

rapport d’activités 2005

et

bilan financier

).


– le 10 juin 2005 (

rapport d’activités 2004

).


– le 21 juin 2004 ( Lire la suite…

Le rôle du Conseil des élus du Pays Basque et du Conseil de développement du Pays Basque


Dès 1992, l’Etat a engagé une démarche sur les conditions de développement du Pays Basque, qui s’est appelée « Pays Basque 2010 ». Dans le cadre de cette démarche, le

Conseil de développement du Pays Basque

a été créé en 1994 et le

Conseil des élus du Pays Basque

en 1995.


Le Conseil des élus est une association Loi 1901. Son assemblée générale se réunit au moins une fois par an et son conseil d’administration tous les deux mois (pour plus de détails, voir la

composition

).


C’est au Conseil de développement, force de propositions, que revient le rôle de mener la réflexion et de formuler des projets par la rencontre et l’échange entre élus, acteurs économiques et responsables administratifs. Le Conseil des élus du Pays Basque valide les projets et a la responsabilité de leur mise en œuvre.


Elu à la présidence du Conseil des élus du Pays Basque le 21 juin 2001, succédant ainsi à Jean-Jacques Lasserre, Alain Lamassoure a animé cette structure dans une double mission : mettre en œuvre la Convention spécifique Pays Basque et poursuivre la réflexion sur le développement et l’avenir du Pays Basque. Lire la suite…

Roses, rouges, verts : même combat?


La facilité avec laquelle socialistes, Verts et communistes plus ou moins repentis ont fusionné leurs listes au second tour des régionales ne s’explique pas seulement par le désir de garder des places. Elle illustre une convergence de fond, assez inquiétante pour notre pays.


La crise financière n’a pas eu que des conséquences économiques : le paysage idéologique, hérité de l’après-guerre, qui ne tenait plus que par un fil, a achevé de s’effondrer. Les mots « socialisme » et « libéralisme » n’ont plus de sens quand ceux qui continuent d’aduler Mao se livrent aux délices et aux poisons du capitalisme le plus échevelé, tandis qu’ailleurs des gouvernements libéraux ont dû prendre, fût-ce temporairement, le contrôle de leurs banques et de quelques grandes industries. Le combat politique a besoin d’un autre cadre de référence. Or, petit-à-petit, ce cadre se met en place. Les campagnes électorales de ces derniers mois, en Allemagne, de ces derniers jours en France, comme celles qui s’ouvrent au Royaume-Uni et aux Pays-Bas en donnent une première illustration. Le grand clivage est désormais : pour ou contre la croissance économique. Lire la suite…

Revenir au peuple


Nicolas Sarkozy a réussi à gagner en 2007 parce qu’il a redonné un corpus de doctrine à nos familles politiques. Il a proposé des réponses modernes aux problèmes contemporains, à partir de nos valeurs fondamentales, humanistes, libérales, sociales et européennes.


Il est maintenant aux affaires, dans la gestion. C’est au parti de faire vivre les idées, d’organiser le débat, d’établir le bilan, de prendre acte des nouvelles aspirations populaires, de comparer les solutions et les résultats avec nos partenaires, d’actualiser l’expression de nos valeurs. Que fait le parti ? Des argumentaires techniques, partisans, électoraux. C’est bien. On attend mieux. Le parti parle aux partisans. Il ne parle pas aux Français. Et il ne donne pas le sentiment de les écouter. C’est un porte-voix du Président, ce n’est pas un stéthoscope qui écoute les Français, et ce n’est plus un apporte-voix du peuple.


Qu’avons-nous perdu en ce printemps électoral 2010 ? Les villes et les campagnes. Les jeunes, qui ne vont pas voter. Les seniors, qui sont tentés par le Front national. Les quartiers défavorisés, dont les rares votants sont tous à gauche. Les agriculteurs, les ouvriers et les classes moyennes, « la France qui se lève tôt », trop pauvre pour bénéficier du bouclier fiscal, trop riche pour bénéficier de la réduction d’IRPP, et qui ne sait plus où l’on en est sur les 35 heures. Tous ceux qui ont applaudi à la récompense du mérite, et qui ont assisté avec surprise, puis déception, et parfois avec fureur, à des promotions qui obéissaient à d’autres critères. Lire la suite…

Page 46 sur 99« Début...102030...4445464748...607080...Fin »